La recherche d’emploi dans un pays étranger peut être un vrai parcours du combattant. Et le concept du Wwoofing en est un parmi tant d’autres. En rejoignant le réseau, tu pourras donc travailler avec des employeurs locaux tout en étant hébergé et parfois même nourri et blanchi.
Sommaire
Wwoofing en Australie
Qu’est-ce que le Woofing ?
Ce concept permet de mettre en relation les voyageurs qui veulent travailler et les employeurs locaux. En Australie et Nouvelle-Zélande, le principe est très développé. Il est même facile de rencontrer des voyageurs qui ont déjà expérimenté le concept. Contre quelques services rendus, tu pourras donc être hébergé gratuitement. En plus d’être un réseau mondial, il existe également la possibilité de faire du Wwoofing exclusivement en France :
D’où vient le Woofing ?
Sue Coppard, une londonnienne est revenue avec plein d’idées en tête. C’est en contactant plusieurs fermes biologiques du pays, que lui vient cette idée. D’ordinaire plus court que d’autres concepts similaires, le Wwoofing permet d’aider sur une courte durée. Les acronymes du concept vient de : « Working weekends on organic farms » (week-ends de travail dans des fermes bio). Aujourd’hui, le concept est mondial et pratiqué naturellement en Océanie.
Quel type de boulots peut-on faire en Woofing ?
En échange, d’hébergement et de nourriture, tu auras quelques services à rendre à ton hôte.
Les principaux emplois sont orientés vers des fermes de types biologiques. Tu peux donc y faire de la cueillette, jardinage, bricolage agricole…Le concept est vraiment basé sur un échange plutôt qu’un travail proprement dit. Aucun besoin d’avoir de l’expérience dans le domaine viticole, fermier ou autre.
Avec l’engouement du concept, la relation basée sur l’échange a quelque peu évolué. La frontière entre l’échange et le travail a véritablement rétréci. Beaucoup de voyageurs ont vécu des expériences négatives en témoignant des conditions de travail parfois difficiles.
Concept similaire au Wwoofing